Ce site n'a jamais été contacté par les communistes pour vendre des informations capitales. De fait, l'auteur ne peut être considéré comme un sale traître à la solde du peuple.
En fait non, ma tolérance au vertige est quand même plus élevée que ça, mais la vidéo suivante a réussi à me faire battre le palpitant sans bouger de mon fauteuil.
Cette vidéo a été tournée en Espagne. Tous les détails sur ce passage sont ici (en anglais, mais l’article existe pas en français): http://en.wikipedia.org/wiki/Caminito_del_Rey
Les chats, c’est la plaie. Ah ça c’est mignon, c’est calin et tout, mais qu’est-ce qu’ils sont pénibles. Et pour ceux comme Albane ou moi qui pensons avoir les chats les plus énervants au monde, voici un petit dessin animé qui rétablit la vérité : les chats sont extraordinairement pénibles, c’est dans leurs gènes.
Spéciale dédicace à Chaussette le Chat.
Et un petit projet de t-shirt trouvé sur internet (j’ai plus le lien) qui s’il est commercialisé va trouver direct un acheteur en ma personne.
Aujourd’hui, point de note acadabrante sur la stratégie de réorientation « classe » du magazine Playboy ou sur les véritables raisons de la hausse des pâtes (encore que j’ai un gros dossier là-dessus). Non, juste une petite note pour vous annoncer en fanfare (tadsouiiin) que je reprends mon histoire de lutins. Et que pour faire plus fort que la précédente, celle-ci débutera par non pas un mais deux morts.
Evidemment il est possible que certains d’entre vous n’aient jamais lu le début de ce récit stupide. Comme je ne suis pas un fumier, voici l’intégralité de l’Acte I gratuitement disponible !!1.
Voilà voilà. Sinon ce week end je file à Paris embêter Frangin et Copine de Frangin, et accessoirement tenter de lui voler sa Wii.
Oui cette annonce est ridicule, mais tous les marketeux vous diront que le mot gratuit attire l’oeil de la ménagère et la rend indulgente donc c’est tout bénèf pour moi. ↩
Vu le succès international de mon blog1, le changement de thème récent a provoqué une vaste vague vaseuse de protestations. Et où sont les chats (ils sont revenus), les couleurs sont moches (les anciennes l’étaient aussi), on veut la nature (sortez de chez vous et allez vous promener en forêt au lieu de lire ces âneries2 ), etc.
Alors d’abord, je vous signale le retour des images du titre du blog qui changent aléatoirement. Je n’ai pas envie de me cantonner aux images de nature donc il y aura de tout. Ensuite je voulais deux colonnes à droite, c’est la principale raison de ce changement hormis le fait que ce couillon de blog mettait des plombes à charger. C’est toujours le cas, mais on gagne au moins une seconde.
Ensuite, devrais-je mettre un fond clair sur une police foncée, comme c’est le cas ici, où bien l’inverse ? De quelle couleur dois-je mettre les liens ? Voulez-vous plus d’images de filles sexy et dénudées, moins de chats, plus de photos de mon frigo ou des seins d’Albane3, plus de sang, moins de Norbert dans les commentaires, moins de liens vers Atchoumation, plus de doré sur le lien du webmail de Frangin, des hommes tout nus, que j’insulte d’avantage les poneys,que je mette plus de rouge ou de bleu et moins de vert… ?
Comme dirait un kikoolol, « lach té koms ! »
Sinon j’ai toujours pas trouvé de nouvelle DricHouse, à croire que personne ne veut louer de maison dans le coin…
Ce qui n’est pas entièrement faux étant donné que Floralia me lit de la Suisse, Norbert de l’Espagne et un que je ne connais pas du Canada (mais il vient pas souvent). ↩
Quiconque dans ce monde a un chat ne peut qu’apprécier au plus au point la vidéo qui va suivre.
En effet, on a facilement tendance à oublier que les chats sont capable d’avoir un coefficient de pénibilité qui dépasse de loin les 10 minutes de pub avant ou pendant un film à la télé, les papys qui roulent 20 km en dessous de la vitessse autorisée et la totalité des miaulements de chats dans le monde1.
A tous les maîtres résignés, cette vidéo est pour vous :
Merci à Norbert pour le lien.
Oui c’est un paradoxe : les chats sont la seule espèce à part l’être humain à pouvoir être plus pénibles qu’eux-même. ↩