Un peu de réflexion avec ce jeu tout en subtilité ou il faut relier les couleurs entre elles. Personnellement j’ai craqué au niveau 16, je suis coincé.
http://www.jeuxvideo-flash.com/jeu-2677-crazy-cube.php
Et dans un genre plus relaxant, un Yéti-like ou on doit envoyer un pauvre type le plus loin possible. A noter que notre gus se fait tabasser par les filles, ce qui le renvoie plus loin, en revanche quand il se prend un gars il s’écrase un peu comme une merde.
http://www.geocities.jp/lledoece/nanaca-crash.html
Mon record est de 3229,93 m. Le pauvre gars a super souffert.
Je connais personnellement Chuck Norris, vite je commente !
Mes parents ont repéré dans le catalogue d’une marque de nature et découvertes (que je ne citerai pas tout en la citant un peu quand même) un article qui vaut la peine de s’interroger sur ce qui peut passer par la tête de tous les gens impliqués dans la fabrication et la vente de ce truc :
J’ai quand même beaucoup aimé le principe des vers de terre, ça doit être assez sympa quand on fait tomber par inadvertance ou pur acte malveillant ce bac à composte.
Mais mes parents ont fait remarquer que quand même, 45kg de composte par an pour quelqu’un qui habite en appart c’est un tout petit peu surdimensionné, à moins d’avoir un énorme F12 ou d’être un disciple d’Hervé Gaymard1
De plus, ça produit de l’engrais liquide. Qui est en fait le fruit de la fermentation de tous vos déchets organiques. Je vous raconte pas l’odeur, mais contentez-vous d’imaginer un truc super puant et acide. Bah vous y êtes presque.
Jibé, pour ton 12m² et ta mini-jungle équatoriale, c’est ce qu’il te faut.
Je n'ai jamais lu un tel ramassis de conneries, vite je commente !
J’aime bien les récits du quotidien qui mettent en valeur un truc idiot. Albane vient d’en faire un pas piqué des vers, avec quelques formules choc (« J’ai même des amies blondes » – « je crois sincèrement que ces chères demoiselles ont été embauchées […pour…] leur capacité à être publiquement ridiculisées »).
En revanche, là où je ne suis pas d’accord, c’est sur la majuscule employée pour désigner l’ensemble des blondes. Ca reste un adjectif, un concept1. Depuis quand met-on une majuscule à commerciaux, fonctionnaires ou nabots présidentiels ? Pourtant ce sont bien des catégories d’humains à part.
En fait, le but de cette note était de tester la fonction de Trackback. Ca m’évite de trouver un sujet et de me casser la tête dessus. Trop fort.
Edit du marsouin ricaneur : ah oui quand même, le lien vers la note d’Albane : http://missdooby1986.spaces.live.com/blog/cns!2BABBB2DD8CDDD23!350.entry?_c=BlogPart
Re-Edit du poisson noyé : Mouais, ça marche moyennement bien avec les blogs msn, mais bon c’est pas comme si Microsoft avait l’habitude de faire de l’interopérabilité…
Je veux coucher avec Dric, vite je commente !
Je suis allé récemment à la Foire de Bourges. Les foires sont l’occasion de voir dans leur habitat naturel des êtres étranges qui vivent dans des stands, braillent beaucoup et sont à l’affût du moindre badaud : les bonimenteurs de foire.
Le bonimenteur est un personnage que je n’aime pas pour beaucoup de raisons, la première c’est parce qu’il essaie de me parler alors que moi je n’en ai aucune envie. Toute la stratégie de cette personne consiste à vous faire croire que pendant quelques minutes vous êtes des amis, des vieux potes, et du coup il tente en bon pote de vous refourguer des trucs qui vont vous changer la vie1
Dans bonimenteur il y a menteur, c’est pas pour rien. Car l’être abject qui décide de devenir bonimenteur est voué à la damnation pour l’éternité. Curieusement, on trouve quand même des gens pour accepter ce job. Bref, le bonimenteur est le roi du bobard. Et plus c’est gros, plus ça passe.
Au hasard de pérégrinations qui n’étaient pas les miennes (c’est l’inconvénient d’aller à une foire avec des gens, on est aussi oligé de tenir compte de leurs goûts), j’ai pu capter un extrait de la discussion monologuée d’un charlatan tenancier d’un stand de médecine par les plantes. Le gars était très vindicatif quand à notre société de consommation alimentaire, et affichait un air scandalisé et convaincu :
« – Oui ma brave dame, faut voir tout ce qu’on trouve dans les barres de céréales pour les gamins ! Vous pouvez lire la composition et aller voir sur Internet, c’est que des trucs toxiques. Ca les empoisonne ! Faut se méfier de tous ces conservateurs, c’est vraiment dangereux pour la santé ! »
J’aurais pu à la rigueur pardonner à ce type le fait qu’il raconte autant d’âneries, puisque si on va vérifier sur Internet la composition de ces barres on se rend vite compte qu’ils sont assez inoffensifs. Après tout, c’est son taf de vendre du naturel, de la plante qui vous fait mincir, du bain de pied qui vous enlève la migraine grâce à une décoction de marguerites, etc.
Mais quand même, on l’a croisé une demi-heure plus tard avec une clope au bec.
Je suis une blonde, vite je commente !
Je viens de voir un article sur NaturaVox, par ailleurs très bien écrit même si j’ai un peu de mal à adhérer aux idées, qui disait en gros que la pollution au CO2 est une vaste farce et que les climatologues seraient bien un peu des charlatans sur les bords.
Je pourrais débattre du sujet puisqu’il se trouve que j’ai une opinion sur la question, mais je n’ai aucune envie de vous la livrer. A la place, on va plutôt parler de ces charlatans de scientifiques.
Je ne compte pas ici décrire précisément l’univers des scientifiques dans une rigueur qu’eux-même applaudiraient. Non, je vais juste me contenter de raconter mes conneries habituelles.
Le scientifique est tout d’abord quelqu’un qui est mal coiffé. Alors que certains savants ont la touffe cranienne au vent, d’autres prennent un grand soin à avoir une coupe de cheveux frisant le ridicule, et frisant tout court parfois.
Le scientifique est omnipotent, du moins jusqu’à ce qu’il soit confronté brutalement avec le quotidien comme au moment de faire cuire du riz, de mettre une machine à laver en route ou encore de programmer son magnétoscope1 (le scientifique se contrefout paradoxalement du high-tech, il découvrira le numérique dans 5 à 8 ans). Piteux et vexé d’être ainsi pris en défaut par des tâches si communes au commun des mortels, il argumentera que son brillant intellect pourrait être bien mieux utilisé qu’à faire des choses aussi futiles.
Le scientifique est parfois une femme. Mais c’est plus rigolo de l’imaginer en homme donc je vous prie de ne pas tenir compte de ce point.2
Le scientifique est querelleur et il aime débatttre. La moindre théorie lancée autour d’une machine à café peut secouer la communauté scientifique internationale pendant environ deux semaines jusqu’à ce qu’un petit plaisantin signale que quand même, un éléphant c’est plus balèze qu’un hippopotame.
Le scientifique n’est pas crédible tant que les hypothèses qu’il avance ne sont pas réfutées par un bon nombre de ses confrères. La justesse d’une théorie est évaluée en fonction du nombre de ses détracteurs : plus il y en a, plus la thèse est solide.
Il existe de par le monde des énigmes insondables qui sont autant de défis pour le scientifique, notamment savoir qui de l’éléphant ou de l’hippopotame est le plus balèze. A ce jour, le débat a fait 34 morts et une centaine de blessés.
Je pourrais continuer l’énumération des fantastiques caractéristiques du scientifique pendant une bonne dizaine d’heures, mais là j’ai ma manicure qui commence dans 10 minutes. Ceci conclu donc mon exposé sur les savants.
Je suis un fan de curling, vite je commente !