Cette demoiselle est la maquilleuse des vampires de Twilight
A la veille des fêtes de Noël, il est un sujet que j’aime particulièrement aborder : les téléfilms de Noël. Qu’il soit bien clair que j’assume totalement le fait d’être un fan inconditionnel, et ce malgré un dosage de niaiserie proche de celui d’un Twilight1. J’avais déjà fait mon coming-out à ce sujet il y a trois ans, et je me souviens nettement m’être pris une claque derrière les oreilles par ma chère et tendre pour mon choix d’illustration pourtant tout à fait innocent. Notez que depuis elle a sévèrement relâché son attention, bien que le fait de le mentionner ici va probablement me valoir un rappel à l’ordre moral.
Pour obtenir l’appellation « Téléfilm de Noël », il faut que le scénario suive un synopsis bien précis. Le Comité de Surveillance de Noël (CSN), qui gère également les imitations du Père Noël et les calendriers de l’Avent entre autres est extrêmement vigilant et a ainsi produit un cahier des charges concernant les scénarii de ces téléfilms, que j’ai pu me procurer au péril de ma vie :
– Le lieu : invariablement, il s’agira d’une petite ville rurale des Etats-Unis. Le postulant à l’appellation « Téléfilm de Noël » (appelé ci-après « soumissionnaire ») pourra proposer une opposition avec le rythme effréné et la froideur des grandes villes. Tous les lieux devront être somptueusement décorés dans la tradition de Noël sans faute faute de goût, à l’exception du bureau du méchant et des possibles scènes tournées en milieu urbain.
– Le cadre économique : En tant que nation basée sur un capitalisme triomphant, le téléfilm se devra d’intégrer dans son scénario une composante économique, telle qu’une fabrique de jouets au bord de la faillite ou une entreprise locale faisant vivre l’essentiel de la bourgade qui connait quelques difficultés.
– Le héros/l’héroïne : Il/elle vivra en milieu urbain, et se retrouvera obligé(e) pour une raison qui n’a aucun besoin d’être rationnelle d’aller dans la charmante bourgade rurale, ce qui introduira un choc des cultures qui tournera bien évidemment en faveur du monde rural. Le passé du héros/héroïne devra comporter une zone d’ombre comme un père disparu, une enfance brisée ou un évènement tragique survenu à la période de Noël. De fait, le héros/héroïne détestera Noël et refusera le bonheur des joies simples. Il/elle devra être de couleur blanche.
– L’amoureux(se) : indispensable pour former un couple à l’issu du téléfilm avec le héros/héroïne, l’amoureux(se) devra être natif(ve) de la bourgade et être de sexe opposé au personnage principal afin de préserver la morale chrétienne et les valeurs prônées par les WASP et le Tea Party. Il/elle devra être père/mère célibataire, son ancien partenaire étant décédé(e)/parti(e) en abandonnant sa famille/en prison/divorcé(e). Il/elle devra également être de couleur blanche.
– L’enfant : Pourra être n’importe quel sexe mais devra être blanc. Une couleur de cheveux blonde sera un plus. L’enfant sera en recherche d’une personne pouvant remplacer son père/sa mère et ainsi recomposer une cellule familiale en conformité avec les valeurs traditionnelles de l’américain croyant. L’enfant pourra au cours du téléfilm être en bref conflit avec le héros/l’héroïne, mais il devra au final se révéler être un allié précieux.
– La communauté : Les habitants de la ville seront tous charmants et accueillants à outrance. Nous sommes bien évidemment dans le domaine du fictif. Dépendante de l’activité de la fabrique en déficit, la communauté fera reposer toute la responsabilité sur les épaules du héros/de l’héroïne. Parmis cette communauté, un ou plusieurs membres seront des brebis galeuses qui aideront les méchants à atteindre leur but. A l’issue du téléfilm, ces parias devront avoir quitté la ville ou avoir fait amende honorable. La communauté pourra comporter un nombre limité de personnes de couleur, tant qu’elles n’occupent pas de rôle central.
– Le ou les méchants : Le soumissionnaire sera bien avisé de créer un ou plusieurs méchants dont le but est de faire du profit sur le dos des petites gens, et donc de faire fermer l’usine/la fabrique de jouet précédemment en difficulté financière, ou tout du moins d’en vouloir fermement à l’Esprit de Noël. Le Méchant devra donc se moquer des enfants et tirer la queue des chats. Il/elle pourra aussi être l’ex de l’amoureux(se), auquel cas le personnage principal et le méchant se battront pour reprendre l’amoureux(se). En cas d’extrême nécessité, le méchant pourra faire amende honorable et être réintégré au sein de la communauté sans toutefois marcher sur les plates-bandes du personnage principal. Le méchant sera de préférence soit un citadin, soit un rural qui aimerait devenir citadin. Le sexe du méchant sera de préférence masculin, sauf si le scénario prévoit une rivalité amoureuse entre les protagonistes auquel cas la méchante pourra être une femme d’affaire froide et impitoyable.
– Arrivée du personnage principal dans la bourgade : Le soumissionnaire pourra choisir parmis les éléments suivants : accident d’une incroyable coïncidence, déposé là après avoir fait du stop, arrivé pour prendre la succession d’une vieille fabrique de jouets au bord de la faillite. Le personnage principal sera accueilli obligatoirement par l’amoureux(se), qui tombera sous son charme mais pourra au préalable éprouver de l’animosité pendant 30 minutes de téléfilm au maximum.
– L’intrigue : Le problème économique devra être réglé par des moyens qu’on peut tout à fait aller piocher dans le domaine du miraculeux, rendant ainsi la joie de vivre à la communauté des habitants de la bourgade. Les principaux personnages devront tomber amoureux l’un de l’autre, puis une crise devra survenir qui va les opposer. Finalement avec l’aide de l’enfant, le héros/héroïne prendra sur lui/elle et reconquérira son amoureux(se) tout en sauvant la ville de la faillite en mettant à mal le plan machiavélique des méchants, grâce à une pirouette scénaristique qui lui permettra d’affronter sa destinée et de prendre ses responsabilités vis à vis de la communauté. Une intrigue secondaire permettant de résoudre le problème remontant à l’enfance du héros/héroïne sera mise en place et ne trouvera de dénouement qu’au dernier moment. Les rebondissements au sein de l’intrigue devront arriver à l’instant précis où tout le monde les attend, et les renversements de situation devront être téléphonés à l’avance au téléspectateur.
– La chute : Ne pourra être autre chose qu’une happy end. Pour plus de réalisme, on pourra faire intervenir un miracle de Noël avec pourquoi pas le gros bonhomme rouge. Les amoureux et l’enfant devront se retrouver, entourés par la communauté bienveillante. La neige sera la bienvenue à ce moment du téléfilm si elle n’est pas déjà survenue.
Un happy end comme on les aime
Voilà mes amis, vous pouvez désormais vous aussi postuler pour créer un scénario de téléfilm de noël. Je n’aurais pas été si feignant, j’aurai même programmé un petit générateur aléatoire de scenarii sur une page web.
Je vous souhaite donc un Joyeux Noël. Pour ma part j’ai fait un gros sapin, donc j’attends de gros cadeaux.
Je connais personnellement Chuck Norris, vite je commente !
Le gros problème des sociétés capitalistes ou en passe de l’être, c’est que le confort apporte des tas de déviances bizarres, comme l’obligation pour certaines de zapper sur France 3 le soir un peu après 20h1 ou de manger énormément et très gras juste parce que c’est bon.
Illustration naïve des bienfaits des lipides sur la croissance des enfants
L’obésité étant une cause de souci permanente chez les nutritionnistes2 et le milieu de la mode, il était bien normal que je me penche sur le sujet, bien que n’ayant aucun intérèt particulier envers les nutritionnistes et ressentant un vague mépris envers le milieu de la mode (qui me le rend bien en m’ignorant superbement).
La source de l’obésité, c’est le gras. Enfin là je résume, mais en gros c’est ça. Alors comment se fait-il que le gras soit omniprésent dans notre société alors que personne n’en veut ? Qui s’amuse à mettre du gras partout pour nous faire grossir ?
Il serait facile d’accuser les lobbies des salles de fitness, de la parapharmacie, des produits minceur et des chaînes de télé-achat, sauf qu’ils ne font que profiter d’une situation déjà bien en place. Le vrai et sournois coupable se cache ailleurs, et nous allons donc plonger au coeur du gras, pour un article suitant de vérité adipeuse3.
Tout d’abord, il faut savoir que le gras ne coûte rien alors qu’il apporte un goût plus agréable dans n’importe quel plat ou aliment où on l’ajoute. Le gras d’un point de vue économique, c’est le nouvel eldorado de l’alimentaire. Ce sont ces fameuses lipides, qui font pleurer n’importe quel mannequin de mode juste à leur évocation et qui font vendre par wagons entiers les magazines féminins à la fin du printemps. Il est reconnu mondialement que c’est du gras pur qui est utilisé en charcuterie, donc le procédé existe à la vue de tous !
La production de graisse est assez aisée et peut provenir de milieux variés : animal, végétal, clinique de liposuccion, les sources ne manquent pas. Un litre de graisse coûte en moyenne 0,09$ à produire, alors qu’il est revendu pas loin de 0,20$ à l’industrie alimentaire4, ce qui en fait un business extrêmement rentable. Le magnat et numéro 1 du gras aux Etats-Unis, Tom Badwin, a fait fortune dans les années 60 en començant à revendre le gras provenant des restes de boucherie à l’industrie du cosmétique pour faire des rouges à lèvres. Aujourd’hui sa fortune est estimée à un montant beaucoup trop élevé pour que je puisse l’appréhender et donc vous le retranscrire, mais sachez que cet homme est scandaleusement riche.
Le gras étant peu cher à l’achat et apportant une réelle valeur gustative (environ 43% de valeur ajoutée d’après le National Fat Addictive Institut), les différents intervenants de l’industrie agro-alimentaire ont vite vu tout l’intérèt qu’ils pouvaient en tirer. Ainsi, au lieu d’être contraints d’élaborer des saveurs recherchées et onéreuses à mettre en oeuvre, ils saupoudrent n’importe quoi avec du gras ou du sucre et le tour est joué, ça se vend comme des beignets.
Les moyens de lutter contre ce complot économique sont souvent voués à l’échec5, mais il existe au moins une solution pas chère et qui ne demande quasiment aucun sacrifice : si comme moi vous êtes affublé(e) de quelques bourrelés disgracieux, ne foncez pas à la clinique la plus proche pour vous les faire enlever, vous risqueriez de les retrouver en accompagnement la prochaine fois que vous irez à McDo.
Et de toute façon, le gras c’est la vie.
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Mes amis, il est des choses dans la vie auxquelles ont ne peut échapper, comme d’aller aux toilettes, de manger, de matter le postérieur des filles1, de grogner contre le gouvernement et de manger du nutella. Bien évidemment certains vont arguer du fait que les stars ne font pas caca (mais comme elles font quand même pipi, elles vont aux toilettes donc j’ai raison), que les grêvistes de la faim ne mangent pas par définition2, que le président ne grogne à priori pas contre ses propres décisions (mais qui ne s’est jamais traité de con pour une décision particulièrement stupide ?) et que certaines personnes n’aiment pas le Nutella. Je le dis tout net, ces gens-là ont le droit de faire ce qu’ils veulent tant qu’ils restent entre eux et qu’ils ne m’approchent pas. Je n’ai rien contre eux, ils sont malades c’est tout3.
Le premier pot de Nutella est sorti des usines Ferrero en Italie le 20 avril 1964. Depuis cette date, chaque année des centaines de milliers de personnes se rassemblent à Alba, en Italie pour fêter la naissance de leur idôle alimentaire. Alors que la plupart des manifestants sont de simples amateurs éclairés, certains ont construit autour du Nutella un véritable culte religieux, dont les dérives sont entre autres des sacrifices de vierges (entendre par là des gens qui n’ont jamais goûté au nutella). Comme les victimes potentielles ne courent pas les rues, ces sacrifices sont extrêmement rares. On trouve aussi des orgies à base nutella (nettement plus sympa), des célébrations en l’honneur de Ferrero et quelques rares missionnaires qui partent dans les pays de l’est prêcher la bonne parole. Pourquoi les pays de l’est ? Et bien parce là-bas les conditions de vie étant ce qu’elles sont, les gens ne peuvent souvent pas s’offrir de Nutella. Les missionnaires, secondés en sous-main par le service poublicité de Ferrero vont dans les campagnes pauvres de l’ex-URSS pour convaincre les familles de vendre leurs organes ou leurs enfants pour acheter cette merveilleuse pâte à tartiner. Evidemment ces dérives se retrouvent aussi chez quelques acharnés de la consommation de Nutella qui sombrent vite dans la dépendance, occasionnant des situations pathétiques, des violences et une déchéance à plus ou moins long terme.
Les spécialistes se sont longuement penché sur la question tout au long de l’histoire du Nutella, certains étant d’ailleurs nettement moins spécialistes que d’autres (ou nettement plus charlatans, à vous de voir). Ainsi lors d’un sondage effectué par la firme Ferrero auprès des pédiatres fin 1963, 89% d’entre eux ont prédit l’échec commercial du Nutella : « Ca ne marchera jamais ! » ont-ils dit pour la plupart. En 1981, François Mitterrand fait toute sa campagne pour les élections présidentielles sur les bienfaits du Nutella, avec le succès que l’on sait (il sera quand même président des Français pendant 14 ans). Peu avant l’an 2000, Paco Rabanne vexé de ne pouvoir créer un pot fashion pour le Nutella4 annonce la fin du monde. Lequel monde, goguenard, lui ricane au nez. A cause d’un refus de la part de la CIA en 1988 d’équiper les combattants Afghans de rations de survie au Nutella, Oussama Ben Laden et son organisation Al-Qaida décident de se venger le 11 septembre 2001 en faisant s’écraser un paquet d’avion aux Etats-Unis. Il a d’ailleurs ponctué ses actes de cette célèbre citation : « Les occidentaux volent le peuple, le Nutella at Allah nous rendrons la liberté ! ». En 2005, Richard Stallman, figure emblématique du Logiciel Libre tente de rendre la recette du Nutella Open-Source. Le monde lui rit au nez, le cantonnant désormais à ses utopies et à une grosse barbe bien laide.
Mais que contient donc le Nutella qui passionne à ce point les foules ? Et pourquoi ses multiples concurrents sont incapables de rivaliser avec cette pâte à tartiner ? Est-ce l’emploi de noisettes généreuses et savoureuses ? Est-ce un dosage des ingrédients savamment étudié (40 ans d’expérience ne trompent pas) ?
Non bien sûr, d’autant que la recette du Nutella change d’un pays à l’autre afin de s’adapter au mieux aux habitudes gustatives de chacun. Un laboratoire anglais a publié le 7 janvier de cette année5 les résultats d’une étude approfondie sur les composants du Nutella qui risquent fort de faire l’effet d’un pachyderme dans une mare.
D’après John Diggles, chercheur émérite, le Nutella contient une substance hautement addictive, la nutelline. Son pouvoir de dépendance surpasserait aisément la nicotine et la caféine pour le placer au même niveau que la cocaïne. Dans le même temps, la nutelline donne un arôme savoureux et unique à la pâte à tartiner.
Mais où trouve-t-on la nutelline ? Les avis sont sévèrement partagés au sein de la communauté scientifique, au point de reléguer l’existenciel débat de savoir qui est le plus fort entre l’éléphant et le rhinocéros au second plan. Certains affirment que c’est une molécule de synthèse, d’autres rétorquent que les Chinois et les Atlantes connaissaient déjà cette substance, dont ils se servaient pour empêcher les esclaves et les serfs de s’enfuir en les rendant accros sans possibilité de s’en procurer par eux-mêmes. La véracité de ces propos est hautement mise en doute par l’absence flagrante de preuves.
Le Nutella (il y a d’ailleurs un débat ouvert et houleux sur le genre du Nutella que la firme Ferrero a été incapable de trancher jusqu’à présent. Le genre communément admis est masculin, bien que Nutella soit basé sur Nut – la noisette en anglais – et ella, diminutif italien de genre féminin.) est donc un sujet sensible sur lequel ferait bien de se pencher nos dirigeants pour redresser l’économie mondiale et notre pouvoir d’achat par la même occasion. Nos voisins Outre-atlantique l’ont déjà compris et les candidats à la Maison Blanche ne cessent de se pavaner en mangeant du Nutella tout le long de leur campagne, afin de montrer au peuple américain qu’ils le comprennent et sont proches de lui.
Le Nutella, c’est la vie.
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Bonjour, je suis de retour pour vous faire gâcher votre précieux temps. Aujourd’hui on va descendre du zombi dans un jeu très rigolo.
http://www.crazymonkeygames.com/Boxhead-More-Rooms.html
apparemment on peut changer d’arme et balancer des grenades mais l’interface n’est pas super claire de ce côté.
En tout cas les rouges (des communistes ?) sont super durs à abattre. A noter que plutôt que de pianoter comme un porc sur la barre espace, il suffit de laisser la touche enfoncée. C’est mieux pour vous et pour le clavier.
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…Et il trouvera en 5 minutes le coin le plus confortable et sécurisé.
Je suis allé en France à Paris (qu’y-a-t’il d’autre que Paris en France d’après les parisiens ?) pendant cette semaine de congés, chez Frangin. Qui a la chance d’avoir une chérie qui cuisine super bien. Mais ce n’est pas le propos de cette note. Non, le sujet c’est Ikéa. Ce fantastique magasin suédois est une ode à la société de consommation : tout là-bas est fait pour que tu te sentes bien, que tu te détendes et que tu écarquilles grand tes mirettes sur les fantastiques produits aux noms totalement idiots qui pullulent le long d’un parcours mieux présenté que dans un musée du jouet.
Tout le génie de ces gens se concentre dans l’organisation de leur magasin. On déambule, on furète, on s’extasie sur le design séduisant des balais à chiotte1 et au détour de meubles de cuisine savamment disposés, on tombe carrément sur une cafétariat. Avec un menu pas trop mauvais en plus (dommage qu’il n’y ait que des sodas et pas de jus de fruits). Et ils font des nocturnes deux jours par semaine.
Ca, c’est le côté paillettes. Le côté obscur, c’est qu’on devient vite accro à toutes ces ingénieuses trouvailles. On se dit que c’est tellement bien foutu qu’il nous le faut. Et on ressort du magasin avec un grand sourire et un gros trou sur le compte en banque.
Je suis donc allé à Ikéa dans le but de fureter un peu et de trouver un sur-matelas pour pallier l’inconfort de la mousse de mon BZ. et je ressors avec une literie complète2 et un fauteuil. Et pas loin de 600€ en moins sur le compte en banque.
Et tout ça pour quoi ? Pour que ces fumiers de chat squattent sans vergogne cette débauche de mobilier moussu. C’est donc Grumeau qui gît pionce sur le fauteuil et Chaussette qui ronfle sur mon nouveau plumard. 5 minutes pour trouver le coin le plus confortable, pas plus. c’est rapide et efficace un chat.
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