Inside ze blog

Pondu le 15 août 2008 - 3 commentaires

Je suis sûr que tout lecteur de ce blog se demande : mais comment donc fait l’auteur pour pondre des notes d’une intensité dramatique et intellectuelle pareille ?

Et bien en fait tout part du comité rédactionnel qui de temps en temps (en réalité quand ils n’ont plus assez d’argent pour flamber au casino de Monaco) se réunit pour un brainstorming qui ressemble pas mal à une danse d’hippopotames sous Extasy qui chanteraient en canon du Lara Fabian.

« – Bon les gars, je dois racheter une mini cabriolet pour ma femme, elle en a encore plié la sienne. Des idées ?
– Ouais, change de femme.
– Fais-la prendre le bus.
– Paye-lui un chauffeur.
– Non, je voulais dire : une idée de note pour le blog !
– Oh… Euh… Ah oui, j’ai fait un pet qui pue ce matin !
– Bravo Paulo, très bonne idée. Un fil conducteur pipi-caca, ça passionne toujours les foules !
– Il faudrait une accroche en béton, un truc qui amène en douceur ce sujet ras-des-pâquerettes…
– On pourrait parler de l’embonpoint de Dric, ce qui amène aux caleçons trop petits.
– Oui, ceux qui craquent à l’entrejambes. Et hop, on enchaîne sur les pets qui trouent le slip !
– Et on parle de pets qui puent alors ?
– Non, pas forcément. Il faudrait broder sur un sujet périphérique au pet.
– Alors… Je sais ! Sur la vitesse d’expulsion des prouts, avec des comparaisons qui frappent l’esprit.
– Parfait Paulo, tu as bien mérité un bon point ! Reste une conclusion tonitruante et on pourra retourner dépenser nos milliers de dollars dans des boîtes à strip-tease hors de prix.
– Ouais, des filles nues avec de gros lolos !
– Parfait, on commence à parler de cul et on conclue en parlant de sexe. C’est bon ça, couchez-moi tout ça sur papier toilettes et envoyez-ça au comité de censure morale et éthique.
– Ils sont en congés, ils vont faire la tournée des bars olé-olé d’Espagne pendant tout le mois d’août.
– Bon on va faire comme d’hab alors, on passe directement le bébé au service de rédaction. Bien messieurs, vous savez tous que nous allons intégrer une nouvelle recrue, je compte sur vous pour faire pression sur la DRH pour que ce ne soit pas une fille qui soit recrutée. Vous savez tous que ce sont des rabats-joie, qu’elles sont incapables d’humour et qu’en plus on devra virer nos posters de filles à poil de cette salle. Voilà c’est tout. Bon week-end les gars !
– Attendez, attendez ! Il nous manque le titre !
– Ah merde ! Bon on va mettre… Craquer son slip n’améliore pas les performances sexuelles ! Allez zou, dégagez tous et filez vous amuser. On est déjà mercredi, je ne vais pas non plus faire des heures sup’ et manger sur mon week end. »

Je voudrais la paix sur le monde, vite je commente !


Nostalgie technologique

Pondu le 23 avril 2008 - 10 commentaires

Un minitel dans toute sa splendeurJe vais vous entretenir aujourd’hui du fleuron technologique français. Je ne parle bien sûr pas de la Citroën 2CV, mais du Minitel.

Le Minitel a été inventé par le Ministère des Postes et Télécommunications en 1980, alors que j’avais environ 0 ans.

La plupart des décideurs de l’époque ont déclaré que c’était complètement nul comme idée, et que ça sentait le caca de panda. Valéry Giscard d’Estaing alors Président de la République en vit un un jour au détour d’une machine à café et s’exclama : « Mais c’est top moumoute ce truc, j’en veux un ! ». Dès lors, l’ensemble de la classe politique ne cessa de s’extasier devant tant de prouesse technologique.

Pour ceux qui ont eu la chance de s’en servir un jour, le Minitel c’est avant tout des graphismes tout moches, une mélodie de connexion semblable à celle des modems 56k et inférieurs1 et une rapidité semblable au rythme effréné des productions télévisuelles allemandes telles que Derrick.

Bien vite le système fut détourné de son utilisation de base, ce fut le début des messageries roses et des premiers tchats.

Affiche superbe de service minitelMais il restait un écueil de taille pour les petits malins qui proposaient des services de dialogue en direct avec des filles pour le moins peu farouches (et qui étaient probablement en réalité des hommes laids et payés pour ça), la question du visuel. Vu la qualité des graphismes, impossible d’afficher des filles nues sur ce terminal. Julien Flanchet, responsable du service 3615 vienzy, déclara en 1983 : « Les photos de filles nues, faudra attendre l’an 2000 pour les avoir ! ». Ce en quoi il avait presque raison, même si le porno sur Internet a commencé bien avant. Les publicistes ont bien évidemment trouvé la solution, ils déportèrent les images suggestives et affriolantes sur les affiches publicitaires vantant les mérites des services de messagerie à caractère coquin. Ce qui permit aux jeunes de mon âge de se rincer l’œil aisément lorsqu’ils étaient coincés dans les bouchons à l’arrière de la voiture. Je ne les remercierai jamais assez pour leur courageux acte de débauche. Le Gouvernement en revanche finit par les remercier en les priant instamment mais un peu tardivement de ne pas exposer de viande fraîche à la vue de tout le monde.

On trouve d’ailleurs sur ce site un peu bizarre quelques exemples d’affiches du même genre : Photographies de 3615.

Superbe choix de couleursMais le Minitel, ce n’est pas que les messageries roses, c’est aussi des services comme les classements des ligues sportives, des portails administratifs, des annuaires à la pelle ! C’était le bon temps du mauvais goût colorimétrique à la Atchoumation.net, comme en témoigne la capture d’écran ci-contre.

Il faut noter quand même qu’il existe encore des services à la CPAM notamment accessibles seulement par Minitel. Comment Internet ? C’est quoi ce truc ?!


  1. Les plus jeunes d’entre nous n’auront jamais la chance d’écouter ce son si particulier qui entraînait un suspens insoutenable lors des (longues) connexions à Internet avant l’apparition de l’ADSL et du câble. Petits cons de jeunes. 

On est bien sur skyblog ici ? Vite, je commente !


Ma chérie fout le bordel dans ma vie

Pondu le 14 février 2008 - 21 commentaires

En ce jour de Saint Valentin (ou Saint Raoul, suivant le degré de célibat), j’aimerai annoncer à mes fans féminines que malheureusement pour elles, je ne suis pas célibataire.

Cette introduction qui prouve entre autres que j’ai une bien trop haute opinion de moi-même m’amène à vous narrer avec un souci permanent d’exactitude et d’objectivité les quelques chamboulements dans mon petit train-train quotidien :

Tout d’abord, je suis désormais obligé de partager mon chez-moi avec ma blonde1. Je sens qu’à la lecture de cette phrase elle va faire des bonds, l’air outré et le regard assassin. C’est mon côté provoc’, j’aime titiller son sens de l’humour. Bref, je ne suis plus tout seul chez moi et pour tout vous dire ça fait bizarre de ne pas avoir à faire toutes les corvées2. Ca a aussi plein d’autres avantages dont l’évocation est interdite aux mineurs, et puis c’est plus pratique pour s’engueuler d’être dans le même lieu.

Mais ce n’est pas tout : mademoiselle travaillant à Henrichemont (une bourgade à 30 km de Bourges et principalement ravitaillée par les corbeaux), il était peu pratique pour elle de se taper la route (qui est pourrie à souhait) pour aller travailler. Comme je suis bien urbain, nous avons donc entamé une recherche digne des quêtes d’Indiana Jones pour trouver un lieu d’habitation situé entre Bourges et Henrichemont qui soit un peu plus confortable qu’un carton sous un pont. Malheureusement, trouver une maison dans ce coin est comparable à l’effort du Président pour retrouver sa popularité : on a eu beau se démener et faire des cris de singes, ça n’a rien donné de bien concret. Enfin ça c’était avant qu’Albane tombe sur une annonce qui parle d’un grand F3 sur St Martin d’Auxigny, patrie des pommes et située à l’exacte moitié de nos lieux de travail respectifs. Même si on voulait une petite maison, on s’est dit « Why not ? »3. Nous avons donc visité un gigantesque appart de plus de 90m² refait à neuf, avec du parquet dans les chambres et plein de fenêtres, de la place pour mettre mon Home Cinema, une cour et un jardin partagé avec deux autres locataires, le tout situé sur la place de la mairie. Il nous a tellement bien emballé qu’après un baroud d’honneur pour trouver quelque chose qui corresponde plus à notre choix d’origine nous nous sommes finalement jetés dessus. Et on emménage le 15 mars. Ce qui me laisse un énorme pieu dans le pied : il faut que trouve un locataire pour mon actuelle maison. Bien évidemment, le court délai m’impose de payer pour le mois de mars mon actuel loyer plus la moitié du nouveau, qui se monte dans son intégralité à 600€ par mois. Mais comme mon préavis est de 3 mois, j’ai plutôt intérèt à trouver un remplaçant. Celà dit si il y en a que ça intéresse c’est une très bonne affaire (maison F3 à 480€/mois sur St Doul’, libre au 1er avril).

Ce nouvel appart offre d’innombrabres possibilités : grâce à la cave je vais pouvoir continuer de faire travailler des petits chinois pour qu’ils me fassent du textile à vil prix, mais comme j’aurais en plus une penderie je vais pouvoir en installer une famille à l’étage pour qu’ils fassent le ménage, la cuisine et qu’ils appuient sur les boutons de la zapette de la télé à ma place. Leur première tâche sera de m’installer des rideauxaux innombrables fenêtres, ça m’embêterait que les p’tites mamies allant faire leur marché le dimanche matin me surprennent à déambuler à poil chez moi. Et gratuitement en plus, si encore elles payaient ça irait.


  1. Au sens canadien du terme, celà va de soi pour mon intégrité physique. 

  2. Notamment la vaisselle, dont la seule évocation éveille chez moi des pulsions de rejets d’une magnitude de 8 sur mon échelle personnelle. 

  3. Oui nous parlons en anglais entre nous, c’est beaucoup plus classe. 

Je n'ai jamais lu un tel ramassis de conneries, vite je commente !


L'appétit sexuel des chinois

Pondu le 30 octobre 2007 - 11 commentaires

Une fervente admiratrice1 m’a envoyé il y a quelques temps des idées de sujets pour mes notes. Parmis ceux-ci, un m’a particulièrement tapé dans l’oeil : la surpopulation en Chine dûe à l’accroissement de l’appétit sexuel chinois.

Aah, la Chine. Pays au gouvernement contesté mais devant lequel tout le monde ferme son claque-merde de peur de ne pouvoir s’y implanter économiquement. Ceci dit moi je n’ai pas de problème avec ce gouvernement, d’abord parce que ce n’est pas le mien, et ensuite parce qu’il est bien évident que gérer un milliard 300 millions de personnes ça n’a rien de facile. Les chefs chinois voudraient d’ailleurs limiter cette population à 1 milliard 400 millions pour 2020. Mais ils se heurtent dans leur plan démographique à un écueil de taille : le féroce appétit sexuel des chinois.

De tout temps, le chinois a toujours été un chaud lapin. Il existait déjà avant la naissance du petit Jésus des villes d’un demi-million d’habitants en Chine, alors que chez nous les gaulois, les gros patelins peinaient à dépasser les 15000 habitants. Preuve s’il en est que notre réputation est largement ursupée dès le départ par ces petits coquins de chinois.

Revenons maintenant à l’ère moderne : le gouvernement chinois, voyant que ses administrés faisaient peu de cas des méthodes de contraception, s’alarma quelque peu de la croissance démographique gallopante. Il fut donc mis en place une limitation stricte des naissances.

Les études indiquent que cette politique pourtant répressive n’a que peu d’effet, les chinois sont en effet incapables de réfréner leur libido. Les plus pornophiles d’entre vous n’auront pas manqué de remarquer le peu de films érotiques et porno en provenance de Chine. La raison en est simple : les films porno sont en majorité faits pour tenter de satisfaire les frustrations des petits occidentaux. Pas de frustration, pas de porno. Ce qui en dit long sur la sexualité débridée du chinois moyen2. De plus, les occidentaux considèrent facilement les chinois comme des pervers, notre inconscience collective s’étant bien rendue compte que malgré des productions audiovisuelles telles que Alerte à Malibu et Derrick, nous étions loin de pouvoir donner à notre libido l’envergure de celle des chinois.

Le gros problème du chinois mâle, c’est qu’il représente 51,5% de la population totale. Dit comme ça, ça fait pas beaucoup mais ça représente quand même 39 millions de bonhommes qui n’ont pas la possibilité de se trouver une femme, à moins de la voler dans les pays voisins. Et même si on enlève les homosexuels ça fait une sacré différence, d’autant que les riches chinois ont pour habitude d’entretenir quelques maîtresses en plus de leur épouse légitime. Un problème épineux pour la sexualité de nos amis chinois que ne résoud probablement pas la prostitution3, pourtant aussi bien implantée dans les villes que dans les campagnes. Le chinois mâle célibtaire n’a alors d’autre possibilité que « de se la mettre derrière l’oreille« , comme on dit par chez nous (ce qui est idiot comme expression, à part quelques phénomènes de foire personne n’arrive à exécuter littéralement cette prouesse. J’ai personnellement essayé, même avec une certaine souplesse c’est pas possible).

En résumé, bien que l’appétit sexuel du chinois soit indubitablement élevé, aucune étude sérieuse n’a pu établir que celui-ci avait augmenté au fil du temps. Les autorités chinoises contactées par votre serviteur ont répondu dans une langue dont celui-ci n’a pas compris un traitre mot. Du coup, impossible d’avoir leur avis sur la question. Par contre, j’espère que certains présidents de la République Française n’auront pas l’idée saugrenue de lire cette note, déjà qu’ils ont fort à faire avec leurs déboires conjuguaux, ils pourraient devenir jaloux des chinois et leur déclarer la guerre. Et vous je sais pas, mais moi me battre à 1 contre 21 ça ravive fortement mes pulsions de petit pleutre.


  1. Je pourrais vous dire qui c’est mais non. De toute façon elle reconnaîtra son sujet. 

  2. En réalité mon argumentation est largement pipeautée, d’une part parce que je n’ai aucune idée de la production réelle de la pornographie chinoise et d’autre part parce que les chinois ruraux (745 millions) n’ont pas trop accès aux moyens modernes de communication. 

  3. Bien qu’on estime que l’industrie du sexe chinoise, un bizness extrêmement rentable fasse vivre pas loin de 10 millions de personnes. 

Je suis un fan de curling, vite je commente !


J'ai donné mon sang

Pondu le 13 septembre 2007 - 24 commentaires

Après un spam intensif qui a dépassé de loin celui d’Atchoum pour son site, une certaine personne m’a traîné pour aller donner mon sang hier. Bien évidemment je n’étais pas super consentant, et je passerai donc sur le spectacle pathétique que j’ai offert : les gens ont pu voir un type de 27 ans se rouler par terre en pleurnichant qu’il ne voulait pas y aller et qu’il allait mourir et qu’il avait un mot de sa maman et qu’il avait justement un cours de poney et que ce serait dommage de le rater.

Nous sommes finalement arrivé au camion, qui affichait fièrement sur un des côtés « Boucherie Sanzot »1. Il faut reconnaître que tout était très bien organisé, on nous a remis des questionnaires dont voici un extrait :

  • Avez-vous mangé ou bu des choses pas bonnes pour votre organisme ces deux derniers jours ?
  • Pensez-vous qu’un président peut n’être qu’un nabot cocu ?
  • Avez-vous participé à une partouze ces quatre derniers mois ?
  • Si oui, avec seulement des humains ?
  • Êtes-vous illettré, auquel cas vous avez probablement répondu au pif sur les questions précédentes ?
  • Changez-vous régulièrement de partenaire sexuel ?2 ?
  • Êtes-vous intéressé par la vente d’un de vos reins ?

Après avoir remis le questionnaire à une vieille dame qui grommelait en continu en bavant un peu, on nous a fait entrer dans le camion, plus exactement on nous y a tassé à une vingtaine de personnes dans un espace clos et non aéré de 6m². On a attendu pendant 2h et 45 minutes, puis la porte donnant accès à l’autre partie du camion s’est enfin ouverte. Moi si j’ai un conseil à donner aux organisateurs de ce foutoir, ce serait d’éviter une telle attente, il y a cinq personnes qui se sont évanouies et elles ont été piétinées par les autres, quel gâchis !

La partie pour prendre le sang était donc carrelée en blanc du sol au plafond, mais visiblement le personnel n’était pas fan de nettoyage, il restait beaucoup de sang sommairement essuyé avec un chiffon crasseux sur les murs. On nous a trié par ordre de contenance, car les dons du sang se font au prorata de notre volume corporel : on prend beaucoup plus de sang à un gros grand qu’à un nabot tout chétif.

Pour surfer sur la vague biologique et alter-mondialiste, on n’emploie pas d’aiguilles : ce sont des chauve-souris qui sont chargées de pomper le sang, on les place sur le bras ou dans le cou, elles vous mordent et elles aspirent goulûment votre précieux liquide rouge. Pour les enfants en bas âge, on emploie plutôt des sangsues. Une fois la chauve-souris pleine, un garçon boucher vient l’attraper et la presse au dessus d’un bidon pour lui faire recracher tout le sang qu’elle a gobé. Puis il la laisse se reposer et il en fixe une autre sur vous. En général les employés sont plutôt cool, alors que leur direction leur impose de pomper quatre litres et demi, ils s’arrêtent à quatre si vous leur donnez votre portefeuille.

La dernière fournée de chauve souris sert à remplir des petites éprouvettes dans le but de faire des tests sur votre sang. Ce qui ne sert pas à grand chose à mon avis puisque les précédentes suscions sont déjà mélangées avec le sang de tout le monde. D’ailleurs ça a l’air d’être du pipeau ces histoires de A, B, AB et O, ils ne s’embêtaient pas avec ça dans le camion. Les tests sont extrêmement courts : ils font réchauffer un peu le sang, ils le regardent à la lumière et ils le goûtent. On peut aussi boire un peu de notre propre sang en cocktail à condition de signer le formulaire de don d’organes. Personnellement, j’ai pas très confiance dans le don d’organe de mon vivant, même si j’ai deux poumons et deux yeux, je ne suis pas sûr que ça fonctionne très bien si on m’en prélève un de chaque, surtout qu’ils le font à l’arrache et sans anesthésie.

Finalement on a pu ressortir vers minuit, et on s’est fait agressé en rentrant à la voiture par de jeunes cadres héroïnomanes en manque. Coup de bol les infirmiers m’avaient déjà piqué mes affaires, j’ai donc juste été tabassé.

Le don du sang c’est nul, on m’avait dit qu’on pouvait y manger et tout ce que j’ai mangé c’est des poings dans le faciès. En conclusion si j’avais un conseil à vous donner, c’est « n’y allez pas, c’est nul. ». Vous êtes prévenu.

Et paf, encore un message secret pour vous insulter, bande de gaufres.

Note : Bien évidemment, tout ce qui est marqué ci-dessus est un ramassis d’âneries. Donnez votre sang, ça fait pas mal et ça fait même pas peur. Pourtant j’ai pas un amour particulier pour les aiguilles mais tout s’est bien passé et les gens sont très sympa là-bas. Et on peut manger autant qu’on veut en plus.


  1. Je vous laisse faire une recherche sur ce nom, les amateurs de BD l’auront de toute façon reconnu. 

  2. J’ai interrogé le médecin (qui était une femme à l’accent de l’est) à ce sujet, elle a dit que ces trucs-là c’était comme les sous-vêtements, fallait en changer de temps en temps. 

Je veux coucher avec Dric, vite je commente !